L'empire contre-attaque : la candidature Codorniou....
C'est la réponse du berger à la bergère... Après des cogitations interminables, les partisans de Frêche sont passés à l'offensive dans l'Aude sur les terres d'Eric Andrieu. Pour contrer Andrieu, c'est la candidature Codorniou, maire de Gruissan, qui a été sortie du bois. L'intéressé n'était même pas au courant qu'il serait candidat il y a deux jours ! C'est peu dire que cela branle du manche du côté de l'hôtel de région. Cette contre-attaque de dernière minute est venue d'un constat : la candidature Bertrand a du mal à générer de l'enthousiasme alors qu'Andrieu lance sa campagne. Pour éteindre le feu, la stratégie est donc désormais d'allumer un contre-feu dans l'Aude en sortant Codorniou du sac pour un plaquage en règle d'Andrieu. Du coup, Marcel Raynaud et plusieurs élus de l'Aude (Pérez, bascou) ont refusé un conflit direct avec le président de région et soutenu la candidature de Codorniou.
On a donc trois candidats en présence. La candidature de "consensus" de Codorniou n'a produit qu'un effet relatif puisque Andrieu a décidé de maintenir sa candidature quoi qu'il arrive.
Le premier a être marron est le maire de Mende dont la légitimité prend un certain coup. Ses amis ont décidé qu'il ne ferait pas le poids. Merci pour lui...
Rien n'est pour autant acquis pour Eric Andrieu. Certes, il bénéficie de nouveaux soutiens. Le dernier en date est celui du député Kléber Mesquida qui a décidé de ne pas déposer sa candidature et de soutenir le 1er fédéral de l'Aude. On se prépare donc à quelque chose d'inédit dans l'Aude, une rivalité entre les élus du département et la fédération. Bien heureux celui qui sera capable de prédire le résultat. Dans l'Hérault, les partisans d'Andrieu se renforcent, reste à mesurer ce que va apporter le ralliement de Mandroux sur le vote des sections de Montpellier. Dans le Gard, cela apparaît toujours aussi compliqué, une chatte n'y retrouverait pas ses petits. Dans les PO, c'est le silence radio.
Bref, pour conclure, une campagne qui va être animée dans notre bonne région.
On a donc trois candidats en présence. La candidature de "consensus" de Codorniou n'a produit qu'un effet relatif puisque Andrieu a décidé de maintenir sa candidature quoi qu'il arrive.
Le premier a être marron est le maire de Mende dont la légitimité prend un certain coup. Ses amis ont décidé qu'il ne ferait pas le poids. Merci pour lui...
Rien n'est pour autant acquis pour Eric Andrieu. Certes, il bénéficie de nouveaux soutiens. Le dernier en date est celui du député Kléber Mesquida qui a décidé de ne pas déposer sa candidature et de soutenir le 1er fédéral de l'Aude. On se prépare donc à quelque chose d'inédit dans l'Aude, une rivalité entre les élus du département et la fédération. Bien heureux celui qui sera capable de prédire le résultat. Dans l'Hérault, les partisans d'Andrieu se renforcent, reste à mesurer ce que va apporter le ralliement de Mandroux sur le vote des sections de Montpellier. Dans le Gard, cela apparaît toujours aussi compliqué, une chatte n'y retrouverait pas ses petits. Dans les PO, c'est le silence radio.
Bref, pour conclure, une campagne qui va être animée dans notre bonne région.