Carcassonne de nouveau devant les urnes : Yes we can !
C'était prévu, mais cela va mieux quand le Conseil d'Etat le confirme. En fonction de l'écart de voix et de certains doutes notamment sur les procurations de vote, l'élection de Carcassonne est annulée. Là encore, comme à Perpignan une délégation spéciale est nommée et une élection va avoir lieu surement en juillet. Autant dire que cela va aller sur les chapeaux de roues...
Jean Claude Perez qui a échoué de quelques dizaines de voix a fait le meilleur score du PS à Carcassonne depuis 1983. IL est clair que la dynamique est avec lui, faut-il encore la concrétiser. Ce qui se joue est historique : c'est d'abord le grand schlem, le PS détenant le CG, les sièges de Parlementaires, Narbonne et Castelnaudary. Manque plus que Carcassonne pour faire le compte. C'est enfin l'occasion de revenir sur cette lamentable erreur qu'a été la lutte fratricide à gauche (3 listes dont deux du PS...) qui avait permis à Raymond Chésa, en 1983, de prendre une ville qu'il n'aurait jamais du gagner...
Dure année pour l'UMP... élections cassées à Perpignan et Carcassonne, les affaires de St Cyprien, l'émeute fiscale de Pont St Esprit, l'investiture régionale ratée... Il faut croire que la droite régionale est en train de manger son pain blanc. On ne va pas s'en plaindre, loin de là.... Reste à concrétiser l'essai. Pour Carcassonne, l'union des forces de gauche est quasiment faîte et Perez devrait gagner. Cela sera plus compliquée sur Perpignan... mais pas impossible
Jean Claude Perez qui a échoué de quelques dizaines de voix a fait le meilleur score du PS à Carcassonne depuis 1983. IL est clair que la dynamique est avec lui, faut-il encore la concrétiser. Ce qui se joue est historique : c'est d'abord le grand schlem, le PS détenant le CG, les sièges de Parlementaires, Narbonne et Castelnaudary. Manque plus que Carcassonne pour faire le compte. C'est enfin l'occasion de revenir sur cette lamentable erreur qu'a été la lutte fratricide à gauche (3 listes dont deux du PS...) qui avait permis à Raymond Chésa, en 1983, de prendre une ville qu'il n'aurait jamais du gagner...
Dure année pour l'UMP... élections cassées à Perpignan et Carcassonne, les affaires de St Cyprien, l'émeute fiscale de Pont St Esprit, l'investiture régionale ratée... Il faut croire que la droite régionale est en train de manger son pain blanc. On ne va pas s'en plaindre, loin de là.... Reste à concrétiser l'essai. Pour Carcassonne, l'union des forces de gauche est quasiment faîte et Perez devrait gagner. Cela sera plus compliquée sur Perpignan... mais pas impossible