Une gifle, une !
Je
sais. Je m’emporte. Qu’importe. Il faut savoir se faire plaisir. Didier
Codorniou s’est pris une gifle par le TGI de Paris. Les frêchistes espéraient
l’annulation de la désignation de la liste Mandroux. En l’absence de liste
officielle PS, on ne pouvait plus exclure pour dissidence. Bien vu les gars,
mais c’est raté… Le tribunal a renvoyé Codorniou dans ses buts. Un putain de
plaquage au sol, avec un petit essuyage de crampons au passage histoire de
faire date. Quand on lui la décision du tribunal, il faut croire que les juges
connaissent mieux les statuts du PS que nos ex-élus régionaux. C’est un
comble ! À croire que c’est encore Navarro qui a été à la manœuvre pour
écrire ce recours. Des as, on vous dit. Maintenant, Codorniou peut faire appel.
Au point où ils en sont. Puis il y a aura la Cassation puis la CEDH ou la cour
de justice européenne. Encore un cabinet d’avocats que l’on sauve de la
dêche . C4est digne de la relance gouvernementale. On s’attend même à ce
que Frêche fasse saisir le conseil
de sécurité de l’ONU. Avec le nombre de gens qu’il fait vivre à l’étranger dans
ses maisons du Languedoc-Roussillon de par le monde… Ce serait étonnant qu’il
n’obtienne pas ce soutien.
En tout
cas, Codorniou qui se voyait déjà député doit se dire que cela risque d’être de
plus en plus compliqué pour lui. Rassurons-nous, il reste quand même maire
et vice-président du conseil régional. Et Dieu sait que l’on sait vivre au
conseil régional.