Régionales, Etat des lieux....
Côté alliances régionales, cela devient compliqué à gauche... une habitude me direz vous !
Côté écologistes, ce sont les chevilles qui enflent. Boustés par leur score aux européennes, les Verts sortent la grosse artillerie. ON se compte au 1er tour, et, dixit Bové dans le Midi Libre ces derniers jours , pas d'alliance avec Frêche au 2e. Pour ce qui est du premier tour, on semble être dans une posture nationale des Verts qui veulent négocier en position de force face au PS au 2e tour avec les autres forces de gauche et le Modem. Reste à savoir ce que sera l'attitude des verts au 2e tour en Languedoc. Plusieurs verts, et pas des moindres, sont prêts à faire la peau de Frêche qui les a viré de la ville et qui a rompu les accords électoraux de 2004 à la région. Reste à savoir ce que sera l'attitude des partis Verts et PS au niveau national sur le Languedoc-Roussillon dans le cas d'un accord national entre ces deux partis entre les deux tours. Tout dépendra du rapport de forces et de ce que les verts sont susceptibles de faire comme score sur une élection de ce type. Dernière variable, une drague trop marquée de l'électorat MODEM risque de faire perdre aux verts une partie de leur capital.
Côté extrême-gauche. C'est silence radio à LO et au PT. Au NPA, on discute nationalement avec le Parti de Gauche et le PC. Les relations semblent tendues avec le PC, notamment sur la question de l'attitude au 2e tour (je mets de côté la question de l'assassinat de Trosky bien sûr...). l'objectif est une liste unique NPA/PC/PG au 1er tour, quitte à laisser au second liberté de choix aux différents partis. Reste à ce que le PC définisse sa stratégie. Dans la région, une grande partie du PC est, pour le premier tour, en faveur de l'autonomie face au PS. Reste à savoir ce que cela celle du 2e tour... Là, c'est plus compliqué de trancher.
Côté PS, les appels à l'union se font dans le vide. Reste des alliés traditionnels, quand même démonétisés (MRC, RDG, Gayssot, Pietrasanta). L'objectif est simple : arriver nettement en tête pour s'imposer face aux autres composantes de la gauche.Le risque est simple, c'est l'alliance anti-Frêche du NPA aux verts, alliance qui s'est déjà concrétisée en 2008 aux municipales à Montpellier.
Côté écologistes, ce sont les chevilles qui enflent. Boustés par leur score aux européennes, les Verts sortent la grosse artillerie. ON se compte au 1er tour, et, dixit Bové dans le Midi Libre ces derniers jours , pas d'alliance avec Frêche au 2e. Pour ce qui est du premier tour, on semble être dans une posture nationale des Verts qui veulent négocier en position de force face au PS au 2e tour avec les autres forces de gauche et le Modem. Reste à savoir ce que sera l'attitude des verts au 2e tour en Languedoc. Plusieurs verts, et pas des moindres, sont prêts à faire la peau de Frêche qui les a viré de la ville et qui a rompu les accords électoraux de 2004 à la région. Reste à savoir ce que sera l'attitude des partis Verts et PS au niveau national sur le Languedoc-Roussillon dans le cas d'un accord national entre ces deux partis entre les deux tours. Tout dépendra du rapport de forces et de ce que les verts sont susceptibles de faire comme score sur une élection de ce type. Dernière variable, une drague trop marquée de l'électorat MODEM risque de faire perdre aux verts une partie de leur capital.
Côté extrême-gauche. C'est silence radio à LO et au PT. Au NPA, on discute nationalement avec le Parti de Gauche et le PC. Les relations semblent tendues avec le PC, notamment sur la question de l'attitude au 2e tour (je mets de côté la question de l'assassinat de Trosky bien sûr...). l'objectif est une liste unique NPA/PC/PG au 1er tour, quitte à laisser au second liberté de choix aux différents partis. Reste à ce que le PC définisse sa stratégie. Dans la région, une grande partie du PC est, pour le premier tour, en faveur de l'autonomie face au PS. Reste à savoir ce que cela celle du 2e tour... Là, c'est plus compliqué de trancher.
Côté PS, les appels à l'union se font dans le vide. Reste des alliés traditionnels, quand même démonétisés (MRC, RDG, Gayssot, Pietrasanta). L'objectif est simple : arriver nettement en tête pour s'imposer face aux autres composantes de la gauche.Le risque est simple, c'est l'alliance anti-Frêche du NPA aux verts, alliance qui s'est déjà concrétisée en 2008 aux municipales à Montpellier.