Nos camarades de Béziers en deuil
Des camarades de Béziers m'ont fait part du communiqué ci-joint que je m'empresse de publier :
Un militant nous a quittés
La famille socialiste est en deuil. Thierry CALLABAT s’est éteint au bel âge. Présent à tous les rendez-vous militants d’importance, il tirait sa fierté de son militantisme de base : pas un tract, pas une affiche qu’il n’ait inlassablement distribué, collé, pas un Biterrois rencontré qu’il n’ait essayé de convaincre.
Thierry comme tout bon Biterrois se réclamait de la famille du rugby. Sa stature, sa pugnacité en avaient fait un joueur respecté, en son temps. Comme tout bon Biterrois il était aussi un supporter inconditionnel de l’ASBH et l’ami des troisièmes mi-temps, où l’on refait les matchs. C’était aussi un homme cultivé, connaisseur de la culture et de la langue occitanes, amateur d’histoire et de botanique.
Engagé depuis des années également à PRS (Pour la République sociale), il refusait de suivre l’évolution de Jean-Luc Melenchon et de René Revol, lorsque ceux-ci préparaient leur départ du PS. Malgré toutes les critiques qu’il pouvait porter sur le fonctionnement dans l’Hérault et les tentations centristes de certains au PS, il restait attaché à son parti qu’il voulait combatif et ancré à gauche.
Le parti socialiste a perdu un militant, de ceux qui s’oublient pour que triomphent leurs valeurs et leurs idées, de ceux qui, à la lettre, font ce qu’ils disent et ramènent à l’essentiel : la lutte acharnée au quotidien dans le sens de l’intérêt général, de ceux qui souffrent, et ils sont aujourd’hui légion.
Sa famille a perdu un être généreux, sa maman un fils attentif et respectueux. Nous lui présentons nos condoléances respectueuses et attristées.
Ses camarades de Béziers
PS : la cérémonie a lieu vendredi.
Un militant nous a quittés
La famille socialiste est en deuil. Thierry CALLABAT s’est éteint au bel âge. Présent à tous les rendez-vous militants d’importance, il tirait sa fierté de son militantisme de base : pas un tract, pas une affiche qu’il n’ait inlassablement distribué, collé, pas un Biterrois rencontré qu’il n’ait essayé de convaincre.
Thierry comme tout bon Biterrois se réclamait de la famille du rugby. Sa stature, sa pugnacité en avaient fait un joueur respecté, en son temps. Comme tout bon Biterrois il était aussi un supporter inconditionnel de l’ASBH et l’ami des troisièmes mi-temps, où l’on refait les matchs. C’était aussi un homme cultivé, connaisseur de la culture et de la langue occitanes, amateur d’histoire et de botanique.
Engagé depuis des années également à PRS (Pour la République sociale), il refusait de suivre l’évolution de Jean-Luc Melenchon et de René Revol, lorsque ceux-ci préparaient leur départ du PS. Malgré toutes les critiques qu’il pouvait porter sur le fonctionnement dans l’Hérault et les tentations centristes de certains au PS, il restait attaché à son parti qu’il voulait combatif et ancré à gauche.
Le parti socialiste a perdu un militant, de ceux qui s’oublient pour que triomphent leurs valeurs et leurs idées, de ceux qui, à la lettre, font ce qu’ils disent et ramènent à l’essentiel : la lutte acharnée au quotidien dans le sens de l’intérêt général, de ceux qui souffrent, et ils sont aujourd’hui légion.
Sa famille a perdu un être généreux, sa maman un fils attentif et respectueux. Nous lui présentons nos condoléances respectueuses et attristées.
Ses camarades de Béziers
PS : la cérémonie a lieu vendredi.