La bande des quatre contre Mao-Frêche ?
Revol, Roumégas, Lazergues, Liberti partent à l'assaut du système Frêche.... Alors, l'initiative fera pschitt ou pas ?
Les rapports de force semblent particulièrement disproportionnés entre une mobilisation essentiellement montpelliéraine aux effectifs réduits et un PS qui tente d'afficher une certaine unanimité derrière la candidature Frêche.
Le parti de Gauche a du mal à mobiliser au-delà de Grabels... et sa banlieue. Le PC est fondamentalement divisé et il n'est pas dit que tous les communistes soient sur la ligne Liberti. Je ne parle pas de Gayssot qui est carbonisé mais d'élus comme Malavielle dans le Gard qui ont besoin du soutien du PS. Les Verts devraient être sur la même ligne que Roumegas alors que Lazerges ne représente qu'elle-même. Bref, un potentiel politique qui reste limité. Ceci étant dit, est-ce le début ou la fin d'une dynamique ? Là est la question. La réponse dépendra notamment de l'attitude du NPA et de LO. si l'alliance anti-Frêche va jusqu'au bout, le PS peut légitimement s'inquiéter. On s'orienterait alors vers une triangulaire qui ne pourrait que faire les affaires de l'UMP.
Va-t-on en arriver là ? Cela dependra d'abord des résultats des différents partis aux élections européennes qui permettront de valider l'efficacité du Pole de Gauche et du NPA.
Reste la question fondamentale qui est de savoir comment le PS doit réagir à cette situation ? En effet, force est de constater que nos alliances traditionnelles sont des plus crispées. C'est le cas dans à Sète avec le PC, avec les Verts à Montpellier par exemple et je ne parle même pas du Parti de Gauche. Revol, qui n'est même pas vice président de l'agglo n'a pas oublié que le PS soutenait l'ancien maire de Grabels contre lui. N'est-il pas temps de changer de pratiques si l"on veut garder nos alliés ?
Si oui, comment acter ce changement ?
Enfin, il y a aussi la question Frêche. En l'état actuel, il sembley avoir une unanimité des secrétaires fédéraux de la région. La question est de savoir si cette unanimité va durer. L'Hérault et les PO sont derrière Frêche. L'aude et le Gard ont fait une alliance de raison, la Lozère comptant peu en termes de militants. Les prochains mois risquent d'être cruciaux sur l'avenir du consensus actuel.
Les rapports de force semblent particulièrement disproportionnés entre une mobilisation essentiellement montpelliéraine aux effectifs réduits et un PS qui tente d'afficher une certaine unanimité derrière la candidature Frêche.
Le parti de Gauche a du mal à mobiliser au-delà de Grabels... et sa banlieue. Le PC est fondamentalement divisé et il n'est pas dit que tous les communistes soient sur la ligne Liberti. Je ne parle pas de Gayssot qui est carbonisé mais d'élus comme Malavielle dans le Gard qui ont besoin du soutien du PS. Les Verts devraient être sur la même ligne que Roumegas alors que Lazerges ne représente qu'elle-même. Bref, un potentiel politique qui reste limité. Ceci étant dit, est-ce le début ou la fin d'une dynamique ? Là est la question. La réponse dépendra notamment de l'attitude du NPA et de LO. si l'alliance anti-Frêche va jusqu'au bout, le PS peut légitimement s'inquiéter. On s'orienterait alors vers une triangulaire qui ne pourrait que faire les affaires de l'UMP.
Va-t-on en arriver là ? Cela dependra d'abord des résultats des différents partis aux élections européennes qui permettront de valider l'efficacité du Pole de Gauche et du NPA.
Reste la question fondamentale qui est de savoir comment le PS doit réagir à cette situation ? En effet, force est de constater que nos alliances traditionnelles sont des plus crispées. C'est le cas dans à Sète avec le PC, avec les Verts à Montpellier par exemple et je ne parle même pas du Parti de Gauche. Revol, qui n'est même pas vice président de l'agglo n'a pas oublié que le PS soutenait l'ancien maire de Grabels contre lui. N'est-il pas temps de changer de pratiques si l"on veut garder nos alliés ?
Si oui, comment acter ce changement ?
Enfin, il y a aussi la question Frêche. En l'état actuel, il sembley avoir une unanimité des secrétaires fédéraux de la région. La question est de savoir si cette unanimité va durer. L'Hérault et les PO sont derrière Frêche. L'aude et le Gard ont fait une alliance de raison, la Lozère comptant peu en termes de militants. Les prochains mois risquent d'être cruciaux sur l'avenir du consensus actuel.