Bilan à mi-course
Tout s'accélère... Tous les soirs de la semaine les motions sont débattues dans les sections du département. Il est vrai que le temps presse, les vacances de la Toussaint débutant à la fin de la semaine prochaine. On est déjà dans la dernière ligne droite avant le vote du 6 novembre.
Quel bilan à mi-course :
- pour la motion A, c'est le chef lui-même qui mouille la chemise. Vezinhet est intervenu dans plusieurs sections déjà pour défendre sa motion. On met le paquet dans l'espoir de mettre en minorité la majorité ségoléniste du département. Reste à savoir l'impact produit. Si on compte surfer sur la montée en puissance nationale de Delanoë, il reste à mesurer les impacts des derniers déchirements électoraux.L'appui du conseil général a par contre généré des revirements spectaculaires, comme celui de Martinez ou Barral à Lunel voire chez certains élus montpelliérains.
- Pour la motion B, le pôle écologique. Une inconnue jusqu'alors. Plusieurs militants la défendent dans le département
- Pour la motion C, l'unification fut complexe mais Delafosse est monté en première ligne le 15. la motion fait par ailleurs venir son mandataire national, Benoît Hamon, incessament. Objectif : arriver en 3e position derrière les deux grosses motions, la A et la E.
-Pour la motion D, les deux principales tendances locales Fabius et Montebourg ne se regardent plus en chiens de faïence et collaborent ensemble. L'objectif est d'arriver en troisième position dans le département. Reste a priori encore une inconnue sur la venue d'un leader national en fin de campagne.
- Pour la motion E, l'enjeu est clair. Garder la majorité fédérale. même si la conjoncture n'est pas des plus favorables (raclée des sénatoriales, déclin de Royal dans les sondages), on compte sur le fait qu'il reste encore un socle significatif de militants qui ont soutenu Royal en 2007 et l'emprise sur la plupart des grosses sections à Montpellier voire dans d'autres communes. Arriveront-ils à faire venir Ségolène Royal à Montpellier ? La question est posée....
- Pour la motion F, celle d'Utopia, c'est toujours Florian Rochette qui s'y colle. Comme la motion B, le faible nombre de militants l'empêchent d'être partout représentée. Le résultat devrait être à cette hauteur.
Quel bilan à mi-course :
- pour la motion A, c'est le chef lui-même qui mouille la chemise. Vezinhet est intervenu dans plusieurs sections déjà pour défendre sa motion. On met le paquet dans l'espoir de mettre en minorité la majorité ségoléniste du département. Reste à savoir l'impact produit. Si on compte surfer sur la montée en puissance nationale de Delanoë, il reste à mesurer les impacts des derniers déchirements électoraux.L'appui du conseil général a par contre généré des revirements spectaculaires, comme celui de Martinez ou Barral à Lunel voire chez certains élus montpelliérains.
- Pour la motion B, le pôle écologique. Une inconnue jusqu'alors. Plusieurs militants la défendent dans le département
- Pour la motion C, l'unification fut complexe mais Delafosse est monté en première ligne le 15. la motion fait par ailleurs venir son mandataire national, Benoît Hamon, incessament. Objectif : arriver en 3e position derrière les deux grosses motions, la A et la E.
-Pour la motion D, les deux principales tendances locales Fabius et Montebourg ne se regardent plus en chiens de faïence et collaborent ensemble. L'objectif est d'arriver en troisième position dans le département. Reste a priori encore une inconnue sur la venue d'un leader national en fin de campagne.
- Pour la motion E, l'enjeu est clair. Garder la majorité fédérale. même si la conjoncture n'est pas des plus favorables (raclée des sénatoriales, déclin de Royal dans les sondages), on compte sur le fait qu'il reste encore un socle significatif de militants qui ont soutenu Royal en 2007 et l'emprise sur la plupart des grosses sections à Montpellier voire dans d'autres communes. Arriveront-ils à faire venir Ségolène Royal à Montpellier ? La question est posée....
- Pour la motion F, celle d'Utopia, c'est toujours Florian Rochette qui s'y colle. Comme la motion B, le faible nombre de militants l'empêchent d'être partout représentée. Le résultat devrait être à cette hauteur.