À gauche du PS, la campagne pour les régionales débute...
La gauche bouge... Alors que le PS sort de la désignation de ses têtes de liste, les autres partis de gauche avancent autour de deux noyaux :
Les verts restent dans leur isolationnisme proclamé depuis leur université d'été. Décidés à concrétiser les résultats des européennes, ils se sentent désormais en position de force pour marquer le PS à la culotte en termes de résultats.
La gauche alternative tente, fait assez rare pour être cité, une initiative de regroupement. Après une première rencontre, un communiqué a été signé entre principalement le PCF, le NPA, le PG, le FASE (etc...). Face à l'émergence des Verts, le pôle de gauche radicale tente de peser dans le scrutin en mutualisant ses forces. Le NPA semble être sorti de sa coquille, alors que le PCF veut y croire et que le PG pousse à la roue. Il reste quand même à attendre un accord final entre les différentes parties et la constitution d'une liste. Sur le site http://www.fase-lr.fr/, les différentes organisations se réunissent localement le 17 octobre à Montpellier pour selon leur communiqué "élaborer en commun une autre politique régionale, antilibérale, anticapitaliste et écologique ouvrant une véritable alternative à la politique du pouvoir Sarkozyste ainsi qu’à celle d’un éventuel centre gauche PS-Modem-Europe Ecologie". Il faut dire qu'au vue des sondages, la gauche radicale n'était pas sûre de faire 10 % en cas de désunion. Reste à concrétiser l'union et voir l'attitude de LO. Le PC devrait lui finaliser sa position fin octobre
Pour la première fois depuis longtemps, le PS voit venir une concurrence politique à gauche comme il n'en a pas vu depuis longtemps. Autant dire que le PS a intérêt à aborder en plaine santé les élections de mars. Quoi qu'il en soit, il devient évident que si le PS reste le 1er parti à gauche, il va devoir sérieusement composer avec ses alliés. Les négociations d'entre-deux-tours risquent d'être ouvertes.
Pour la région, tout le monde est désormais suspendu à la décision de la direction nationale du PS. Les partisans de Frêche ont demandé une entrevue à Martine Aubry qui n'a pas encore donné suite. L'attitude du PS devrait conditionner l'attitude des autres partis. La seule vraie question est désormais de savoir si il existera deux ou trois listes à gauche.... Tout reste envisageable... pour la région.
Les verts restent dans leur isolationnisme proclamé depuis leur université d'été. Décidés à concrétiser les résultats des européennes, ils se sentent désormais en position de force pour marquer le PS à la culotte en termes de résultats.
La gauche alternative tente, fait assez rare pour être cité, une initiative de regroupement. Après une première rencontre, un communiqué a été signé entre principalement le PCF, le NPA, le PG, le FASE (etc...). Face à l'émergence des Verts, le pôle de gauche radicale tente de peser dans le scrutin en mutualisant ses forces. Le NPA semble être sorti de sa coquille, alors que le PCF veut y croire et que le PG pousse à la roue. Il reste quand même à attendre un accord final entre les différentes parties et la constitution d'une liste. Sur le site http://www.fase-lr.fr/, les différentes organisations se réunissent localement le 17 octobre à Montpellier pour selon leur communiqué "élaborer en commun une autre politique régionale, antilibérale, anticapitaliste et écologique ouvrant une véritable alternative à la politique du pouvoir Sarkozyste ainsi qu’à celle d’un éventuel centre gauche PS-Modem-Europe Ecologie". Il faut dire qu'au vue des sondages, la gauche radicale n'était pas sûre de faire 10 % en cas de désunion. Reste à concrétiser l'union et voir l'attitude de LO. Le PC devrait lui finaliser sa position fin octobre
Pour la première fois depuis longtemps, le PS voit venir une concurrence politique à gauche comme il n'en a pas vu depuis longtemps. Autant dire que le PS a intérêt à aborder en plaine santé les élections de mars. Quoi qu'il en soit, il devient évident que si le PS reste le 1er parti à gauche, il va devoir sérieusement composer avec ses alliés. Les négociations d'entre-deux-tours risquent d'être ouvertes.
Pour la région, tout le monde est désormais suspendu à la décision de la direction nationale du PS. Les partisans de Frêche ont demandé une entrevue à Martine Aubry qui n'a pas encore donné suite. L'attitude du PS devrait conditionner l'attitude des autres partis. La seule vraie question est désormais de savoir si il existera deux ou trois listes à gauche.... Tout reste envisageable... pour la région.