1er bilan de la campagne pour l’investiture dans la région
En Lozère, gros problèmes pour organiser des réunions contradictoires. Il faut comprendre Alain Bertrand, le 1er fédéral : Entre la messe le dimanche, la saison des champignons, la nécessité de commencer à couper le bois à l’approche de l’hiver, le besoin d’obtenir l’aval de l’évêque de Mende (imaginez donc, faire venir deux audois cathares en Lozère !)… Bref, la fédération n’a pas de date pour organiser une réunion contradictoire. Dans les PO, plusieurs jours avant la date prévue, l’équipe Andrieu a demandé à la fédération d’avertir les militants de la tenue d’une réunion à Perpignan. Et bien, vous ne me croirez pas, la messagerie du portable du 1er fédéral bourquiniste ne fonctionnait pas, et le pauvre homme n’a découvert le fax, à l’insu de son plein gré, que le jour de la réunion (voir l’independant)! C’est vraiment pas de bol. La fatalité quoi ! C’est promis, l’erreur sera réparée (sic) ! Dans l’Aude, Codorniou refuse les réunions contradictoires proposées par la fédération. Dans le Gard, la fédération a joué le jeu. Dans l’Hérault, j’imagine que la fédération va, après le 1er octobre, avertir les militants de l’existence de réunions contradictoires pour le vote du 1er. Bref, la stratégie des fréchistes est claire : limiter autant que possible les débats. Plusieurs dizaines de sections ont ainsi évoqué les contraintes de temps en expliquant ne pouvoir organiser de réunion avant le vote du 1er octobre. Dans l’Hérault, les PO, la Lozère, on a toujours pas annoncé de réunion fédérale pour un débat contradictoire entre les deux candidats. C’est dire à quel point cela sent la sérénité dans le camp Codorniou/Frêche/Navarro/Bourquin.