La fin du frêchisme ?
La préparation des prochaines sénatoriales est-elle à l'image du déclin de Georges Freche ?
La contestation de la liste officielle du PS est-elle le signe du déclin d'une hégémonie politique, celle de G Frêche sur le département ? Poser la question a, aujourd'hui, du sens. Plusieurs éléments permettent de poser le débat.
La composition de la liste officielle, elle-même, est révélatrice de la situation. Sur 6 membres, 3 sont des élus ou anciens élus montpelliérains (Frêche, Mandroux, Navarro). les autres candidats disposent d'un potentiel politique des plus limités. K Chevallier, fille des époux Sabah, n'a été choisie, en 2007, que pour pallier le refus de Bauduin de figurer sur la liste. Les deux autres sièges ont été réservés aux alliés... Le constat est que le nombre d'alliès de Frêche fond comme neige au soleil. Le Modem, grand bénéficiaire des dernières municipales à Montpellier, a rejeté la proposition malgré le soutien de Marc Dufour qui a été désavoué. Le PC n'y est pas favorable et les verts y sont opposés. Restent donc Pietrasanta, exclu des verts, et B Négrier du microscopique MDC. Cet état des soutiens en dit long sur les difficultés à venir lors des prochaines régionales qui n'avaient pu être gagnées que grâce à l'alliance des forces de gauche. La volonté de dégommer les élus du Conseil général ne va pas arranger les choses puisque ces derniers n'ont pas, dans le cadre d'une lutte à mort, intérêt à voir repasser Freche à la région sous peine de trépasser au conseil général !
Le déclin ou pas viendra du résultat des sénatoriales. Si la liste Navarro est trop loin derrière la liste du conseil général, on risque d'observer un certain nombre de repositionnements lors du prochain congrès. D'où la stratégie actuelle de la fédération de pousser la candidature Delfau pour limiter le potentiel politique de la liste Tropéano.
PUTAIN, ENCORE DEUX MOIS A TENIR.....
La contestation de la liste officielle du PS est-elle le signe du déclin d'une hégémonie politique, celle de G Frêche sur le département ? Poser la question a, aujourd'hui, du sens. Plusieurs éléments permettent de poser le débat.
La composition de la liste officielle, elle-même, est révélatrice de la situation. Sur 6 membres, 3 sont des élus ou anciens élus montpelliérains (Frêche, Mandroux, Navarro). les autres candidats disposent d'un potentiel politique des plus limités. K Chevallier, fille des époux Sabah, n'a été choisie, en 2007, que pour pallier le refus de Bauduin de figurer sur la liste. Les deux autres sièges ont été réservés aux alliés... Le constat est que le nombre d'alliès de Frêche fond comme neige au soleil. Le Modem, grand bénéficiaire des dernières municipales à Montpellier, a rejeté la proposition malgré le soutien de Marc Dufour qui a été désavoué. Le PC n'y est pas favorable et les verts y sont opposés. Restent donc Pietrasanta, exclu des verts, et B Négrier du microscopique MDC. Cet état des soutiens en dit long sur les difficultés à venir lors des prochaines régionales qui n'avaient pu être gagnées que grâce à l'alliance des forces de gauche. La volonté de dégommer les élus du Conseil général ne va pas arranger les choses puisque ces derniers n'ont pas, dans le cadre d'une lutte à mort, intérêt à voir repasser Freche à la région sous peine de trépasser au conseil général !
Le déclin ou pas viendra du résultat des sénatoriales. Si la liste Navarro est trop loin derrière la liste du conseil général, on risque d'observer un certain nombre de repositionnements lors du prochain congrès. D'où la stratégie actuelle de la fédération de pousser la candidature Delfau pour limiter le potentiel politique de la liste Tropéano.
PUTAIN, ENCORE DEUX MOIS A TENIR.....