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Encore 6 jours avant la prise de décision définitive du national. Vendredi, le conseil fédéral de l'Hérault a ratifié les résultats du vote du 3. Il reste maintenant à attendre le 12 pour savoir ce que sera la décision nationale, les acteurs régionaux attendant tous le résultat final.
Au niveau national, la majorité nationale tend à se disjoindre sur la question Frêche. Dans l'attente du 12, plusieurs dirigeants tendent à obtenir d'Aubry un quitus pour Frêche. C'est le sens des propos d'un Hollande. Les strauss-kahniens aussi, nota. Borgel, poussent à cela. il est vrai qu'ils attendent en retour le soutien des fréchistes lors du prochain congrès voire la présidentielle. De l'autre côté, Montebourg est monté au créneau alors que la convention fédérale de l'Essonne, fédé dirigée par un proche de Valls a voté une motion à l'unanimité pour rejeter toute alliance avec Frêche. Au milieu, Lamy et Hamon que l'on a du mal à suivre dans leurs stratégies. Et tous attendent qu'Aubry décide. Montebourg ne compte pas en rester là. D'après lui, c'est sur ce dossier que se jouera ou non la capacité du PS à se rénover, nota. en s'imposant aux baronnies locales. Il reste à savoir s'il sera entendu. Dans le cas contraire, Aubry ratifie la stratégie de Frêche qui a toujours su jouer son potentiel de cartes au sein du PS pour s'imposer ... en tout cas dans sa région parce que ailleurs, personne n'en a voulu.
Et pendant ce temps, au PC, on jubile. Soit Aubry rejette Frêche et le Front de gauche peut négocier sa place sur la liste, soit Aubry cautionne Frêche et le PC est sûr de récupérer une partie de l'électorat socialiste et d'arriver au 2e tour. Bref, le PC est dans une position qu'il n'a plus eu depuis longtemps dans la région... grâce à Frêche, ce qui est un comble. Petite cerise sur la gâteau pour le PC, le NPA retape à la porte.
Au niveau national, la majorité nationale tend à se disjoindre sur la question Frêche. Dans l'attente du 12, plusieurs dirigeants tendent à obtenir d'Aubry un quitus pour Frêche. C'est le sens des propos d'un Hollande. Les strauss-kahniens aussi, nota. Borgel, poussent à cela. il est vrai qu'ils attendent en retour le soutien des fréchistes lors du prochain congrès voire la présidentielle. De l'autre côté, Montebourg est monté au créneau alors que la convention fédérale de l'Essonne, fédé dirigée par un proche de Valls a voté une motion à l'unanimité pour rejeter toute alliance avec Frêche. Au milieu, Lamy et Hamon que l'on a du mal à suivre dans leurs stratégies. Et tous attendent qu'Aubry décide. Montebourg ne compte pas en rester là. D'après lui, c'est sur ce dossier que se jouera ou non la capacité du PS à se rénover, nota. en s'imposant aux baronnies locales. Il reste à savoir s'il sera entendu. Dans le cas contraire, Aubry ratifie la stratégie de Frêche qui a toujours su jouer son potentiel de cartes au sein du PS pour s'imposer ... en tout cas dans sa région parce que ailleurs, personne n'en a voulu.
Et pendant ce temps, au PC, on jubile. Soit Aubry rejette Frêche et le Front de gauche peut négocier sa place sur la liste, soit Aubry cautionne Frêche et le PC est sûr de récupérer une partie de l'électorat socialiste et d'arriver au 2e tour. Bref, le PC est dans une position qu'il n'a plus eu depuis longtemps dans la région... grâce à Frêche, ce qui est un comble. Petite cerise sur la gâteau pour le PC, le NPA retape à la porte.